Création le 2 octobre 2020
Les Émirats sont présentés "à l’heure actuelle", en fonction des effets de la production de pétrole.
ABOU DHABI
La capitale de cet Émirat, aussi fédérale. est opulente mais sans exubérance, active mais sans agitation. Le plus riche des Émirats gère sa fortune avec modération et prépare avec sagesse l’ère de l’après-pétrole, avec une diversification orientée vers la culture
DOUBAI
Ville en chantier permanent, Doubai se mesure à Singapour ou à Hong-Kong. Dans sa version contemporaine, elle engrange des capitaux et s’efforce de les faire fructifier. Elle joue la carte du luxe et se veut la vitrine d’un libéralisme dégagé de tout complexe, avec sa tour de 818 mètres de hauteur et sa piste de ski. Il existe encore un « vieux » Doubai plus authentique des année 1930.
SHARJAH
Sharjah apparaît comme l’Émirat le plus équilibré, en particulier sur le terrain économique. Riche en ressources gazières, l’Émirat subvient à ses besoins. Il dispose d’un port en eau profonde, et est autosuffisant en cultures vivrières. Sur le registre de la culture, il abrite un superbe musée d’art islamique.
AJMAN
Sans ressources pétrolières, Ajman fait figure de « poids plume ». Mais ses plages n’attendent que le touriste. Ce ne sera pas le parent pauvre des émirats.
UMM AL-QAYWAYN
Là aussi, cet Émirat minuscule joue à sa mesure la carte touristique avec un parc aquatique et un aéroclub proposant des voyages en hélicoptère ou en ballon. La véritable attraction culturelle réside dans le site archéologique d’Ed-Dur présentant l’une des plus belles concentrations de vestiges préislamiques.
RAS AL-KHAÏMAH
Cette ville est l’héritière du célèbre port de Juffar commerçant avec les Indes, la Perse et l’Asie. C’est à quelques encablures que se trouvent les vestiges de la forteresse de Shimal, dont la légende fait un lieu de séjour de la reine de Saba sur la route la menant au roi Salomon. Et ses nappes aquifères permettent des jardins de fruits et légumes …












